Le 27 mars 2020, le président Donald Trump a promulgué un plan de sauvetage et de relance destiné à relancer l’économie américaine…
Dans le cadre des programmes d’aide susmentionnés, chaque citoyen américain – gagnant dans les limites de revenus établies – recevait 1200 dollars. Rappelons que la condition pour percevoir un chèque de ce montant était de présenter un revenu d’un maximum de 75 000 $ ou 150 000 $ pour les couples mariés présentant une demande conjointe.
Cet événement a aggravé un problème d’inflation déjà hors de contrôle aux États-Unis. La loi CARES a injecté 2 200 milliards de dollars supplémentaires dans l’économie et a créé un précédent pour une impression monétaire encore plus importante.
Le problème de la planche à billets
Imprimer de l’argent n’est pas une bonne solution. Il est incapable de stimuler l’économie à long terme. Inflation
Cela conduit non seulement à diverses pathologies de la vie financière actuelle, mais aussi au phénomène décalé et dangereux du transfert de capitaux des mains des pauvres vers le portefeuille des riches. Il est lié à l’effet Cantillon, du nom de l’économiste irlandais du XVIIIe siècle qui a été le premier à décrire cette régularité. L’argent mis en circulation à la suite de la création atteint d’abord les comptes des plus riches. En règle générale, ce sont les entreprises ou les institutions qui dépensent ces fonds en investissements et en biens de consommation. Les producteurs et les détaillants en profitent, mais la demande accrue fait grimper les prix, et les plus pauvres sont perdants. Lorsque l’argent nouvellement créé atterrit finalement dans leurs portefeuilles, par exemple en raison d’une augmentation de salaire, il vaut moins que lorsqu’il a été émis. La crème est bue par les groupes sociaux les mieux lotis et les plus influents, qui sont en mesure d’influencer la politique monétaire du gouvernement, par exemple par le biais du lobbying.
Qui a acheté BTC, est sorti “du bon côté”.
Un chèque de relance de 1 200 dollars américains vaudrait plus de 11 dollars aujourd’hui s’il était utilisé pour acheter des bitcoins en avril 2020. Un tel rendement est possible car, contrairement au dollar, l’offre de bitcoins est fixée à “seulement” 21 000 000 de pièces numériques. Si l’on considère les données d’un point de vue historique, le bitcoin a été acheté jusqu’à présent et est de plus en plus accepté à un rythme qui dépasse de loin son inflation transparente et planifiée qui ne cesse de diminuer.
Extrait de l’archive Bithub :
Vous pourriez être intéressé par :
Le mot du rédacteur
Le présent article ne constitue ni en totalité ni en partie une ” recommandation ” au sens de la loi du 29 juillet 2005 relative à la négociation d’instruments financiers ou du règlement (UE) n° 596/2014 du Parlement européen et du Conseil du 16 avril 2014 sur les abus de marché (règlement sur les abus de marché) et abrogeant la directive 2003/6/CE du Parlement européen et du Conseil et les directives 2003/124/CE, 2003/125/CE et 2004/72/CE de la Commission ainsi que le règlement délégué (Ue) 2017/565 de la Commission du 25 avril 2016 complétant la directive 2014/65/UE du Parlement européen et du Conseil en ce qui concerne les exigences organisationnelles et les conditions d’exercice applicables aux entreprises d’investissement et les termes définis aux fins de cette directive. Le contenu du site web ne répond pas aux exigences relatives aux recommandations au sens de la loi susmentionnée, notamment parce qu’il ne contient pas d’évaluation spécifique d’un instrument financier, qu’il ne repose sur aucune méthode d’évaluation et qu’il ne précise pas le risque d’investissement..